Louvre Ravioli

  • PEINTURES & DESSINS
  • SCULPTURES
  • OBJETS
  • HORS DU LOUVRE
  • A PROPOS & VIDEOS
Social
  • PEINTURES

    DELACROIX ET LA BANNIÈRE

    30 décembre 2024 2 Comments Louvre Ravioli
  • HORS DU LOUVRE PEINTURES

    BONHEUR, AU TRAVAIL

    10 décembre 2024 0 Comment Louvre Ravioli
  • HORS DU LOUVRE PEINTURES

    UNE PEINTURE EN NOIR ET BLANC

    25 septembre 2024 0 Comment Louvre Ravioli
  • PEINTURES

    UN MELON TRAGI-COMIQUE ?

    21 août 2024 0 Comment Louvre Ravioli
  • PEINTURES

    SALOMON, À TORT ET À RAISON.

    22 mai 2024 0 Comment Louvre Ravioli
  • HORS DU LOUVRE PEINTURES

    VACANCE ROMAINE

    17 janvier 2024 0 Comment Louvre Ravioli
  • HORS DU LOUVRE PEINTURES

    L’ORIGINE DU MONDE, SUR LE DEVANT DE L’OBSCÈNE ?

    13 janvier 2024 0 Comment Louvre Ravioli
  • HORS DU LOUVRE PEINTURES

    MONET, SUR UN RYTHME DE BARGES

    20 décembre 2023 0 Comment Louvre Ravioli
  • PEINTURES

    CARAVAGE, HAUT EN DOULEURS

    24 novembre 2023 0 Comment Louvre Ravioli
  • PEINTURES

    LE BÉNÉFICE DU DOUBLE

    13 septembre 2023 0 Comment Louvre Ravioli
  • PEINTURES

    LE PIED DE NEZ DE RIBERA

    29 avril 2023 0 Comment Louvre Ravioli
  • PEINTURES

    J’VOUS AI APPORTÉ DES BUBONS

    11 mars 2021 0 Comment Louvre Ravioli
  • PEINTURES

    DANS L’TOURBILLON D’LA VIE ?

    9 janvier 2021 4 Comments Louvre Ravioli
  • PEINTURES

    UN SACRÉ TÊTE-À-TÊTE

    22 octobre 2024 0 Comment Louvre Ravioli

loader

Envie de lire ma newsletter ?

Adresse email*

Suivez-moi sur les réseaux

Louvre Ravioli

louvreravioli

Pour nous rapprocher des oeuvres
Par François Bénard (real. @latoilepercee)
Chroniques publiées sur @beauxarts_magazine 🌈

“Le fou regardant à travers ses doigts peut ren “Le fou regardant à travers ses doigts peut renvoyer à l’idée que l’excès de tolérance entraîne la prolifération des péchés qui met le monde à rebours.”

Michel Weemans - Catalogue de l’exposition « Figures du Fou » (oct 24 / fév 25)

Sur cet aveuglement, l’article d’André Gunther « Le signe de la Victoire » est éloquent : 
https://imagesociale.fr/11647

Illustrations :
📍« Portrait de fou regardant à travers ses doigts » -  vers 1548.
📍Elon Musk, janvier 2025.
📍Steve Bannon, février 2025.
📍Capture d’écran de l’article de Gunther sur son site « L’image sociale ».
Hasard ou coïncidence ? Dans son « Boulevard Hasard ou coïncidence ? 

Dans son « Boulevard des Italiens » (v.1880), Caillebotte offre un point de fuite, décentré sur la droite. Pile sur ce point, il a placé une herse, aussi appelé « garde-cocus ». 

Ce séparateur de balcons prévient les infractions et empêche les voisins curieux d’observer par les fenêtres. 

La herse circulaire, hérissée de pointes, reprend la forme d’un oeil avec ses sourcils. Elle rappelle aussi l’oeil du spectateur présent sur les dessins d’Alberti pour expliquer les règles de la perspective.

Si rien n’est évident,
ce serait quand même un beau clin d’oeil.
En face à face : 🖼 “Labourage nivernais” ( En face à face :
🖼 “Labourage nivernais” (1849) par Rosa Bonheur,
🖼 “Les Bateliers de la Volga” ( 1872) par Ilia Efimovich Repin

++++++++++++++++++

2 cadrages pour des cinétiques parallèles :

📍 Chez les boeufs de Bonheur du Musée d’Orsay
Le cadrage de trois quarts permet d’attraper la queue de l’attelage du fond et déclenche un effet loupe progressif.
Les bandes de labour grossissent peu à peu,
les bœufs s’approchent de nous.

📍 Chez les Bateliers de Répine (1873) :
La même cinétique laborieuse.
Plus frontale, plus violente, moins champêtre.
Ceux-là ne vont pas tirer des socs de charrue plantés en terre, mais une embarcation flemmarde qui se traîne sur l’eau.

Pour + d’infos sur les boeufs de Bonheur, lisez ma chronique sur le site de Beaux Arts magazine, accessible à tous.
Vu à l’expo « Figures du Fou » au @museelou Vu à l’expo « Figures du Fou » au @museelouvre :

« Philippe Pinel à la Salpêtrière en 1795 » (1876)
par Tony Robert-Fleury

Le docteur Pinel en visite à l’asile pour femmes.
Tel un souverain thaumaturge, une malade s’approche de lui, le touche.
A ses côtés, un adjoint s’occupe d’une autre malade, lui enlève ses entraves de fer.
Elle tend son bras en pleine lumière.
Remisées sur les côtés, d’autres femmes enferrées, par terre, perdues.

+++++

A mettre en regard d’un autre tableau du Louvre ?
« Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa » (1804)
par Antoine-Jean Gros
Le docteur Bonaparte en visite au lazaret des pestiférés.
Tel un souverain thaumaturge, un malade s’approche de lui, le touche.
A ses côtés, un adjoint s’occupe d’un autre malade, réalise une incision.
Celui-là tend son bras en pleine lumière.
Remisés sur les côtés, d’autres hommes damnés, par terre, perdus.
🖼 “La Liberté guidant le peuple” (1830) d’Eugène Delacroix

🖼 “Le Concert Champêtre” (v.1510) de Titien.

Sur le tableau du Concert champêtre, une nymphe en torsion reproduit le bruissement de la cascade qui tinte le paysage.

Le joueur de luth, avec ses cordes doublées, s’inspire à l’instant de cette puissance intérieure.

Le pouvoir des allégories est sans limite. La Liberté d’Eugène Delacroix insuffle aux insurgés la force de dépasser leurs peurs, la Poésie de Titien souffle aux poètes l’inspiration pour pénétrer les cœurs.

👉👉👉 Pour en (sa)voir plus, lisez la chronique “Titien, l’imagination au pouvoir” disponible sur @beauxarts_magazine, (lien en bio) 🔥
« L’Origine du monde » sur le devant de l’ « L’Origine du monde » sur le devant de l’obscène ?
Faut dire que la toile montre ce qui est d’habitude exclu de la scène, du champ de la représentation. Depuis l’Antiquité, notre animalité et nos besoins naturels sont voilés. Les sexes sont feuille-de-vignés, la porte des WC soigneusement fermée. A Delphes ou à Corinthe, il était même interdit de manger dans les gradins. Fallait bien s’éloigner du wapiti, du chien ou du bouquetin…
Sauf qu’en 1866, Darwin rafraîchit les mémoires. Son « Origine des espèces » (1859) est formelle : l’humain tient de l’animal. Paf. Et si la morale s’en mord les poings, Courbet cet anti-braghettone radical, en remet une couche (ou plutôt en enlève une).
*****
💥 Illustration @jfeydel_fdl, artiste géniale et grande culottière du XXIe siècle.
💥 Le lien de la chronique en bio ! L’occasion de revenir sur le contexte de création de la célébrissime toile de Courbet exposée au @museeorsay.
💥 L’oeuvre est visible à « Lacan, l’exposition » du @centrepompidoumetz_ jusqu’au 27 mai 2024.
👋 @museecourbet
“Le Débarquement de Marie de Médicis au port d “Le Débarquement de Marie de Médicis au port de Marseille, le 3 novembre 1600”, exposé au @museelouvre, est peint par Pierre Paul Rubens vers 1621/1625.

Marie de Médicis commande cette toile en 1621 afin de raconter son histoire, quitte à transformer les déboires en morceaux de gloire. 

Dans cette scène mouvementée tout semble se dérouler sans encombre. En haut, sur la passerelle, tout est calme, la reine est délicatement portée par les nuages de sa Renommée. En revanche, en bas, la mythologie se débat avec les éléments déchaînés pour fixer l’embarcation.

Mais si tout est si formidable, si épique, pourquoi nous présenter une reine déboussolée ? Et où est Henri IV d’ailleurs ?!

👉👉👉 Hasard ou Coïncidence ? Pour en (sa)voir plus, lisez la chronique “Que du bonheur ?” disponible sur @beauxarts_magazine, (lien en bio 🔥) !
🚨 Chronique Louvre Ravioli 🚨 Pour marquer l 🚨 Chronique Louvre Ravioli 🚨

Pour marquer le départ des amoureux pour Cythère, Watteau déroule tous les symboles. Dans une confiture de roses, de rubans et de nœuds, les amours s’enlacent et s’entrelacent. Deux Cupidon armés jusqu’aux dents les accompagnent… Même si les troupes zigzaguent, ils ne peuvent pas les rater. Au devant, Watteau a placé 3 couples qui pourraient bien illustrer les chapitres d’un « Guide du séducteur ».

👉🏻👉🏻👉🏻 Pour en (sa)voir plus, lisez la chronique”Transports en Watteau” disponible sur louvreravioli.fr (lien en bio) 🔥

Et bonne #SaintValentin bien sûr ! 🏹 ❤️ 💘
EN FACE À FACE 🖼 “Nature morte à la tête d EN FACE À FACE
🖼 “Nature morte à la tête de mouton” (1808-1812) de Francisco de Goya
🖼 « Agnus Dei » (1640) de Francisco de Zurbarán

Avec le mouton de Goya, nous voici tous plongés, la tête dans le cru. 
Face à cette boucherie, on tourne de l’œil, on détourne le regard. Quel carnage. Pour un veggie d’aujourd’hui, voici un sérieux candidat au martyr face à notre folie carnivore. Cette viande trop froide glace le sang. Certains iront se réchauffer en pensant à l’agneau endormi de Zurbarán, lové dans sa petite laine bien épaisse. La bête de Goya a dû vivre son pire cauchemar. 
Aurait-elle marché sur une mine ? Silence de morgue : il faut reconnaître la victime. C’est un mouton nous dit le cartel.

👉👉👉 Pour en (sa)voir plus, lisez la chronique “Goya ou le mystère de la chambre froide” disponible sur @beauxarts_magazine, (lien en bio) 🔥
Charger plus Suivre sur Instagram

Rencontrons-nous !

Et aussi sur…

  • @LouvreRavioli

Articles récents

  • DELACROIX ET LA BANNIÈRE
  • BONHEUR, AU TRAVAIL
  • UN SACRÉ TÊTE-À-TÊTE

Mots-clés

Au boulot ! C'est mort Comme à la guerre Croyances et religions En révoltes Mon beau miroir ? Money Money Money. Napoléon On n'arrête pas le progrès Propagande & politique Un peu d'amour Un peu de philo
  • Instagram
  • Facebook
  • Twitter

© Louvre Ravioli - François Bénard - Tous droits réservés

Abonnez-vous aux mises à jour

Envie de lire ma newsletter ?

Adresse e-mail non valide
Avec nous, pas de courrier indésirable. Vous pouvez vous désinscrire quand vous le souhaitez.
Merci !