Aujourd’hui, la Vierge est morte. Un bras lui en tombe, l’autre est posé sur son ventre, matrice sacrée. Par ici, aucun nuage, aucun ange nu. Le regardeur va y laisser des plumes. Dans cette pièce sans issue, un trait de lumière nous conduit forcément vers le visage de la défunte, posé sur un coussin fatigué. Coiffée d’une très fine auréole, elle semble apaisée.
Pour lire la suite, rdv sur le site de Beaux-Arts Magazine. L’article est accessible à tous !