LE MASHUP D’ORANGE

Mais où sont donc croqués ces vestiges ? À Angkor Vat ? À Chichén Itzá ? Certainement pas. Un peu partout, des morceaux de colonnes, des bouts de linteaux. Certains édifices tiennent encore debout. Au loin, à gauche, on croit deviner un palais. Devant cette façade massive se dresse un mausolée. Sur la droite, un petit arc de triomphe s’est retourné vers les montagnes. On serait plutôt donc en terre romaine, répandue en ruines latines.

En plein centre, un impressionnant édifice structure l’ensemble. Là encore, un arc de triomphe, mais plus difficile à reconnaître : ses trois baies plongées dans l’ombre sont rétrécies par une vue de trois quarts. Le premier coup d’œil imaginait plutôt un ouvrage proche de la vieille tour du cimetière de Nuenen peint un siècle plus tard par Vincent van Gogh.

Lire la suite sur le site de Beaux Arts Magazine, lecture accessible à tous.

Leave A Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *