
Au menu du jour : une sacrée fraise servie sur un compotier. Certains préféreront celles de Jean Siméon Chardin présentées dans un panier, et ça peut se comprendre. Il y a plus réjouissant qu’un barbu décapité dans son cadre d’ébène. Face à l’œuvre-chef, le regardeur a le souffle un peu court, toujours pétrifié par une fascination morbido-sacrée. Avancée comme une offrande dans sa coupe sacrificielle, on interroge son pouvoir magique.
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